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Les Citoyens pour la Sauvegarde de la Nature (CSN) … C'est quoi, c'est qui ?
C’EST QUOI :
Un mouvement hétérarchique qui se distingue par la disparition de la hiérarchie dominatrice, favorisant le développement de l’intelligence collective et la coopération entre les membres (à l’inverse d’une structure ascendante). Dans ce type de système, l’individu conserve son autonomie maximale et, ainsi, sa liberté et sa prise d’initiative. Afin de se maintenir et de permettre une réelle capacité à agir ensemble et à construire un monde meilleur sur des bases solides, certaines valeurs morales sont alors primordiales telles que l’honnête, l’incorruptibilité, la loyauté, le sens de la justesse et de la justice, celui de l’égalité (égalité des sexes, égalité ethnique …) … et une réelle vocation à agir dans l’intérêt collectif (ce qui rend ce mouvement considérablement différent de l’anarchie).
La PROTECTION DE LA NATURE, et donc l’amélioration des conditions de vie pour l’humanité ainsi que pour toutes les autres espèces, est ici le fil conducteur de ce mouvement. En vous appropriant le terme de CSN, vous concevez que l’humanité elle-même dépend de l’environnement naturel et on l’inverse, et vous pouvez jouer un rôle dans le maintien et la restauration des conditions de vie indispensable à tout être vivant sur cette planète (Comment ? Lisez – ici ou ailleurs -, apprenez, discernez, agissez) : c’est la condition essentielle d’appartenance aux CSN.
La critique est largement admise (pourvu qu’elle ait un sens), la franchise est de rigueur (je ne me prive pas…), l’engagement pour la liberté et la justice est une vocation : toute vérité n’était pas bonne à dire, mais elle l’est devenue dès lors que l’humain a dépassé le seuil critique de son empreinte sur terre (ce qui est largement le cas) et de son mépris pour les autres habitants de ce monde (qu’ils soient animaux – comme nous – ou plantes …).
Sur ce site, vous pouvez découvrir, vous agacer aussi, trouver un écho sur l’idée que vous vous faites du monde, et trouver des pistes d’actions (parfois inventées, parfois relayées) : ici, c’est un réseau d’empowerment revendiqué ! Un but ultime : détenir un certain savoir pour ne pas se laisser leurrer par un certain pouvoir.
C’EST QUI :
Yann Batailhou, Écologue, Médiateur scientifique et Infographiste :
- Passionné par les sciences naturelles depuis plus de 30 ans, en particulier par l’ornithologie et l'entomologie, l’écologie générale et l’écologie du paysage ;
- Termine ses études à l’âge de 17 ans (niveau B.E.P.), puis les reprend à 25 ans : d’abord par un B.T.A « Aménagement de l’Espace - Gestion de la Faune sauvage », suivi d’un B.T.S « Gestion et Protection de la Nature », puis d’une Maîtrise de « Responsable en Gestion - Spécialisé en Système d’Information », et conclu enfin sur un D.E.A. « Environnement : Milieux, Techniques, Sociétés » (équivalent d’un Grade de Master aujourd’hui) au Muséum national d’Histoire naturelle de Paris ;
- Obtient à 50 ans son Titre Professionnel de niveau IV d'Infographiste - Metteur en page afin d'ajouter une compétence à son cursus (maîtrise des logiciels Illustrator, Photoshop et InDesign et connaissance des éditeurs de site internet tels que WIX et WordPress) ;
- 25 ans d’expériences professionnelles en milieux associatifs, bureaux d’études environnementaux et fonction publique territoriale. Expert en faune (ornithologie, mammalogie, entomologie, herpétologie) et en écologie : étudie également la flore patrimoniale (orchidées sauvages, dendrologie, …) et s’intéresse plus particulièrement aux fonctions écosystémiques (services rendus par les écosystèmes) ;
- Intervient principalement à trois niveaux : l’expertise scientifique et naturaliste ; la communication (animations, formations, sensibilisations, éco-interprétations … et écologie politique) ; la mise en œuvre de mesures concrètes de conservation ou de protection de la faune, de la flore et des milieux naturels.
Un objectif :
Œuvrer à la création, la conception et la réalisation de projets de communication et d’actions écologiques contribuant au respect, à la restauration et la préservation des écosystèmes (biotopes et biocénoses).
Comment l’atteindre : développer ou rejoindre un réseau de professionnels dont l’esprit rejoint les fondements du système hétérarchique (cf. plus haut).
LES CSN, C’EST QUI D’AUTRE :
C’est peut-être vous aussi …
Si vous pensez comme moi que :
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La « prise de conscience écologique en France » ou ailleurs n’est qu’une vision de l’esprit ;
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Légitimer une action « écologique » de la valeur d’une goutte d’eau dans l’océan en prétextant que « c’est mieux que rien », n’est véritablement rien face au désastre environnemental actuel ;
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Mettre un nichoir en haut d’un arbre en disant « c’est mieux que rien », c’est bien pour s’amuser – et amuser les enfants – mais que ça ne peut compenser la perte d’innombrables zones de reproduction pour les oiseaux ;
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L'implantation d’un « abri à insectes » dans certaines communes pour être estampillées « écolos » ne vient en rien excuser les centaines d’hectares de milieux naturels (prairies, friches, arbres morts, etc.) qu’elles détruisent chaque année ou qu’elles ont récemment détruit ;
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Nous ferions mieux de protéger sans commune mesure plutôt que de toujours vouloir « améliorer les connaissances pour mieux protéger » :
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« Améliorer les connaissances pour mieux protéger » est un beau prétexte pour ne pas admettre qu’on n’est incapable de protéger ;
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L’écologie ne se résume pas à « manger bio », « trier les déchets » et mettre en place des projets d’« énergie renouvelable » ;
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Tout le monde parle d’écologie sans savoir de quoi il s’agit (cf. point précédent) ;
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Les trois principaux facteurs de dégradation et de destruction des écosystèmes relatifs au domaine continental et sur lesquels il faut absolument agir sont l’urbanisation, l’agriculture et l’agroforesterie intensives ;
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L’EAU est la principale ressource que l’on se doit de respecter et que, par conséquent, tous les milieux marins, humides et aquatiques de cette planète doivent faire l’objet d’une protection stricte et absolue ;
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L’extrémisme écologique n’existe pas, sinon ça se saurait ;
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C’est celui qui dit qui est : couler dans le béton et le bitume l’équivalent d’un département français en moins de 10 ans, n’est-ce pas extrémiste ? Faire courir à la population un risque considérable de santé publique en pulvérisant dans l’air, l’eau et les sols des quantités astronomiques de pesticides, n’est-ce pas extrémiste ? Surexploiter les forêts au point d’en homogénéiser la composition et au point de ne plus y voir un arbre centenaire, n’est-ce pas extrémiste ? Accaparer un territoire et le confondre avec un frigo à ciel ouvert pour des « besoins » qui n’ont plus rien de naturel, n’est-ce pas extrémiste ? Etc.
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Quand la population parle de lobby écologique, elle confond le lobby économique qui surfe sur la vague de l’écologie « parce qu'il y a du pognon à se faire » (éolien, photovoltaïque, isolation à 1 euro, etc.) avec ceux qui défendent les intérêts environnementaux quoi qu’il leur en coûte ;
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Les écologistes (partis politiques) ne sont pas forcément écologues (profession), et qu’il faudrait des professionnels (écologues) pour animer les partis politiques … sinon, on risque de passer pour des idiots … ;
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Pour résoudre un problème d'écologie, on en crée souvent un autre ("je vais endiguer la rivière pour résoudre les problèmes d'inondations" …) ;
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Etc. (non exhaustif).
Alors, il est possible que nous soyons suffisamment unis pour constituer une équipe …
BIENVENUE !
Quelques références et contributions :
www.vigienature.fr/fr/suivi-temporel-des-oiseaux-communs-stoc
gard-nature.com/wp-content/uploads/2022/09/2022_commande_papillons_de_france.pdf
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Lauréat du concours " dévoile les dix mots au fil de l'eau" organisé par le Ministère de la Culture dans le cadre de la semaine de la langue française et de la francophonie (14 au 22 mars 2020) : réalisation d'une maquette 45 tours (texte et design) dans la catégorie "à vau-l'eau"
http://www.mesnil-en-ouche.fr/wp-content/uploads/2019/10/17092711-MESNIL-EN-OUCHE-800_ANNEXE2_PRE-DIAGNOSTIC-ECOLOGIQUE.pdf
https://fr.calameo.com/read/005691436e5ea89ebee69
http://reseau-cen-doc.org/dyn/portal/index.seam?page=alo&aloId=10316
https://www.documentation.eauetbiodiversite.fr/notice/00000000015e5b1eb693dd43dd5bb90f
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Participation à l’enquête Rapaces 2000-2001 : Rapaces nicheurs de France – Distribution, effectifs et conservation
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Contribution en tant qu’observateur-collecteur de données : Les oiseaux du département du Tarn. Statut biologique – Statut de conservation – État des connaissances (2001)
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